Quand la DGSE ouvre ses dossiers
LE MONDE | 18.12.06 | 15h34 • Mis à jour le 18.12.06 | 15h34
C'est une salle quelconque, dont nul ne doit connaître l'existence. Au coeur
de la caserne Mortier, à Paris, siège des services secrets français (DGSE),
une salle est réservée à des visiteurs très particuliers.
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samedi, décembre 23, 2006
Je veux devenir agent secret !
Je veux devenir agent secret !
Par Philippe Kallenbrunn
Le quotidien des espions n’a rien de celui de James Bond ! Les métiers du
renseignement demandent bien plus de cervelle que de muscle, une culture
solide et des capacités d’analyse développées. Le “ métier ” vous tente ?
Voici les clés qui en entrouvrent les portes.
Inutile de se leurrer, ne devient pas James Bond qui veut ! En réalité, seuls
les membres du célèbre “ Service Action ” de la DGSE ont l’apparence de 007 :
fausses identités, méthodes peu orthodoxes, dans un danger quasi permanent.
Hors de ce microcosme, le renseignement demeure un métier intellectuel,
palpitant certes, mais qui conduit rarement à traverser la brousse à la
machette et à séduire les filles. En France, les agents secrets officient dans
trois services : la DGSE, la DST et la DMR.
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Par Philippe Kallenbrunn
Le quotidien des espions n’a rien de celui de James Bond ! Les métiers du
renseignement demandent bien plus de cervelle que de muscle, une culture
solide et des capacités d’analyse développées. Le “ métier ” vous tente ?
Voici les clés qui en entrouvrent les portes.
Inutile de se leurrer, ne devient pas James Bond qui veut ! En réalité, seuls
les membres du célèbre “ Service Action ” de la DGSE ont l’apparence de 007 :
fausses identités, méthodes peu orthodoxes, dans un danger quasi permanent.
Hors de ce microcosme, le renseignement demeure un métier intellectuel,
palpitant certes, mais qui conduit rarement à traverser la brousse à la
machette et à séduire les filles. En France, les agents secrets officient dans
trois services : la DGSE, la DST et la DMR.
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vendredi, décembre 22, 2006
jeudi, décembre 21, 2006
lundi, décembre 11, 2006
Bush, Ben Laden, copains comme cochons?
J'ai eu Ben Laden dans mon viseurRÉVÉLATIONS Les Américains auraient intentionnellement laissé le chef d'al-Qaida s'enfuir. A deux reprises, des soldats français ont eu la possibilité de tuer Ben Laden. Chaque fois, les Américains les en ont empêchés. A voir dans «Les ratés d'une traque», un film de 52 minutes qui passera en janvier à la télévision.Fin 2003, dans le Sud de l'Afghanistan, près de la frontière pakistanaise, des soldats français du Commandement des opérations spéciales (COS) repèrent un petit groupe de combattants ennemis. Et parmi eux, Oussama ben Laden. L'homme le plus recherché de la planète est à moins de 400 mètres. Il ne se doute de rien, c'est la nuit, le commando tricolore est enterré. Un soldat tient le géant saoudien (il mesure plus d'1,90 mètre) dans son viseur. «J'ai Ben Laden», lâche même le militaire. Seulement voilà, en Afghanistan, les Français sont sous les ordres des Etats-Unis. Depuis l'Etat-major américain de Bagrham, le COS reçoit, au bout d'un très long moment, l'ordre de laisser partir le fondateur d'al-Qaida...Quelques mois plus tard en 2004, le même scénario se reproduit. Y a-t-il eu par deux fois des ratés dans la chaîne de commandement? Ou faut-il émettre une hypothèse plus invraisemblable: malgré toutes les déclarations de George Bush depuis le 11 septembre 2001, l'Amérique ne souhaite pas capturer l'ennemi public numéro 1. «Les militaires français ont eu neuf morts en Afghanistan. Profondément choqués par l'attitude des Américains, ils ont commencé à nous parler. Nous avons enregistré leurs déclarations», raconte Emmanuel Razavi, de l'agence Hamsa Press, installée à Dijon.Les Américains livrent des armes aux talibans Avec Eric de Lavarène, correspondant de plusieurs médias francophones en Afghanistan et au Pakistan (Libération, «France Info»), ils ont réalisé un reportage de 52 minutes, intitulé «Ben Laden, les ratés d'une traque», qui sera diffusé en janvier prochain sur une chaîne francophone, peut-être Arte. Le film ne spécule pas sur les motifs de l'Etat-major américain, il se contente de raconter. Les multiples révélations, que ce soit du représentant de la Banque mondiale à Kaboul, d'un conseiller du président Hamid Karzaï, ou de Haji Zaher, général de la police afghane, laissent pour le moins songeur. On y apprend qu'à Tora Bora, loin de vouloir capturer Oussama ben Laden, on l'aurait tranquillement laissé s'enfuir avec 70 de ses hommes. Aujourd'hui, lorsque les Américains livrent des armes à l'armée nationale afghane, dans le même temps, ils offrent la même quantité de munitions aux... talibans. A quel incroyable jeu de dupes assistons-nous? «Non seulement les talibans peuvent à présent compter sur 15 000 à 20 000 combattants, et contrôlent, de fait, plusieurs provinces, mais al-Qaida est revenu en Afghanistan. C'est cette organisation terroriste qui se livre à des attentats suicides. Attentats qui n'existaient pas jusqu'alors dans ce pays», constate Emmanuel Razavi.
vendredi, décembre 08, 2006
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