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lundi, novembre 27, 2006
mercredi, novembre 22, 2006
mardi, novembre 21, 2006
Réseau Echelon et compagnie...
En 1948, pendant la Guerre Froide, les États-Unis et le Royaume Uni passent un pacte connu sous le nom d'UKUSA qui consistait à recueillir des informations militaires sur l'Union Soviétique. C'est à partir de cela que le Réseau ECHELON est né. Par la suite, trois autres pays ont rejoint l'alliance UKUSA : Le Canada, L'Australie et la Nouvelle-Zélande. Depuis la fin de la Guerre Froide, le but du système a été réorienté : désormais, ce sont les informations économiques et privées qui intéressent ce gigantesque système d'espionnage fonctionnant à l'échelle planétaire. Aujourd'hui, c'est nous qui sommes visés...Voir la suite : http://reseau.echelon.free.fr/reseau.echelon/informations.htm
http://reseau.echelon.free.fr/reseau.echelon/index.html
http://reseau.echelon.free.fr/reseau.echelon/index.html
Le Pentagone veut se doter d'une super-machine à traduire
mercredi 8 novembre 2006, 14h31 Le Pentagone veut se doter d’une super-machine à traduire
CAMBRIDGE, Massachusetts (AP) - La DARPA, agence du département américain de la Défense à l’origine de l’ancêtre d’Internet à la fin des années 60, s’attelle à un nouveau projet : mettre au point d’ici 2010 un logiciel capable de traduire quasi-simultanément l’arabe ou le mandarin avec une précision de 90% à 95%, pour le plus grand profit des services de renseignement.
Pour eux, un des plus grands défis est de reconnaître rapidement des informations importantes dans des langues étrangères. C’est pourquoi l’armée américaine aimerait se doter d’une machine capable d’écouter émissions de télévision et conversations téléphoniques ou de lire des sites Web en arabe et en chinois, de traduire ces contenus et d’en résumer les éléments-clés.
L’an dernier, l’Agence des projets de recherche avancée de la Défense (DARPA) a lancé le programme Gale, acronyme anglais d’Exploitation globale autonome du langage, qui vise à concevoir un tel logiciel de traduction en temps réel.
Son objectif d’arriver à une précision de 90% à 95% pourrait s’avérer impossible. Même l’homme pourrait être incapable d’atteindre un tel degré d’exactitude, étant donné les risques de malentendus entre interlocuteurs, d’incompréhension d’expressions idiomatiques ou d’interprétation erronée du message.
Heureusement pour les chercheurs de Gale, ils n’ont pas eu à s’élever à ce niveau d’excellence tout de suite. La première année, ils devaient traduire à l’oral l’arabe et le mandarin avec une précision de 65%, le but étant fixé à 75% pour le texte.
La DARPA a engagé trois sociétés en concurrence les unes avec les autres pour le projet : IBM, l’institut de recherche à but non lucratif SRI International, et la firme BBN Technologies. Chaque année, leurs travaux seront évalués et l’équipe la moins performante pourrait être éliminée.
Pour BBN, qui a permis à l’agence Associated Press d’avoir un rare aperçu des activités habituellement confidentielles menées pour la DARPA, l’enjeu est de taille. Cette société réalise 80% de son chiffre d’affaires avec l’armée, et un gros contrat comme Gale lui a déjà rapporté 16 millions de dollars (12,6 millions d’euros) la première année.
Anciennement appelée Bolt, Beranek and Newman, du nom de ses fondateurs, la firme est connue pour ses travaux sur les réseaux informatiques dans les années 60, qui débouchèrent plus tard sur Internet. A la fin de cette décennie, la DARPA a mis au point le réseau Arpanet, ancêtre du Web.
BBN est également spécialisée dans les technologies de reconnaissance vocale et de traduction, mais a dû recruter des chercheurs extérieurs pour la mission Gale. "Nous n’avons jamais eu un projet de cette complexité", soulignait le chercheur de BBN Owen Kimball en avril. "Il y en a qui vont s’arracher les cheveux."
Avant le lancement du projet, BBN affirmait pouvoir traduire automatiquement les journaux télévisés étrangers avec une précision supérieure à 80%. Mais la DARPA s’intéresse non seulement à ces programmes au langage policé et de bonne tenue, mais aussi aux interviews du citoyen lambda dans la rue et aux "chats" (forums) utilisant un ton familier sur Internet.
C’est là où les choses se gâtent : bruits de fond, dialectes, accents, argot, mots escamotés... un véritable cauchemar pour les ingénieurs. Sans parler du fait que l’arabe et le mandarin ont une structure très différente de l’anglais, ce qui rend la tâche encore plus ardue.
Les trois équipes de chercheur en concurrence ont stocké une pléthore d’enregistrements et de textes en arabe et chinois dans leurs ordinateurs. Le but est de régler avec précision le processus informatique, baptisé algorithme, qui réalise l’analyse du langage.
La DARPA a réalisé le premier test d’évaluation en juin : des milliers d’heures d’enregistrements audio et des millions de pages à traduire. Elle a jugé les traductions au nombre de corrections humaines nécessaires pour donner aux phrases leur sens réel.
Résultat : BBN a obtenu à l’écrit une précision de 75% en arabe et mandarin, et à l’oral 69% pour l’arabe et 67% pour le mandarin. IBM a obtenu un meilleur score à l’écrit pour arabe et le SRI a fait mieux pour le mandarin.
Les objectifs de première année fixés par la DARPA ont été largement remplis. Aucune équipe n’a été éliminée, au moins pour le moment. Mais elles vont continuer à être testées et à devoir faire leurs preuves pendant encore quatre ans maximum.
Source : + http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article2948
CAMBRIDGE, Massachusetts (AP) - La DARPA, agence du département américain de la Défense à l’origine de l’ancêtre d’Internet à la fin des années 60, s’attelle à un nouveau projet : mettre au point d’ici 2010 un logiciel capable de traduire quasi-simultanément l’arabe ou le mandarin avec une précision de 90% à 95%, pour le plus grand profit des services de renseignement.
Pour eux, un des plus grands défis est de reconnaître rapidement des informations importantes dans des langues étrangères. C’est pourquoi l’armée américaine aimerait se doter d’une machine capable d’écouter émissions de télévision et conversations téléphoniques ou de lire des sites Web en arabe et en chinois, de traduire ces contenus et d’en résumer les éléments-clés.
L’an dernier, l’Agence des projets de recherche avancée de la Défense (DARPA) a lancé le programme Gale, acronyme anglais d’Exploitation globale autonome du langage, qui vise à concevoir un tel logiciel de traduction en temps réel.
Son objectif d’arriver à une précision de 90% à 95% pourrait s’avérer impossible. Même l’homme pourrait être incapable d’atteindre un tel degré d’exactitude, étant donné les risques de malentendus entre interlocuteurs, d’incompréhension d’expressions idiomatiques ou d’interprétation erronée du message.
Heureusement pour les chercheurs de Gale, ils n’ont pas eu à s’élever à ce niveau d’excellence tout de suite. La première année, ils devaient traduire à l’oral l’arabe et le mandarin avec une précision de 65%, le but étant fixé à 75% pour le texte.
La DARPA a engagé trois sociétés en concurrence les unes avec les autres pour le projet : IBM, l’institut de recherche à but non lucratif SRI International, et la firme BBN Technologies. Chaque année, leurs travaux seront évalués et l’équipe la moins performante pourrait être éliminée.
Pour BBN, qui a permis à l’agence Associated Press d’avoir un rare aperçu des activités habituellement confidentielles menées pour la DARPA, l’enjeu est de taille. Cette société réalise 80% de son chiffre d’affaires avec l’armée, et un gros contrat comme Gale lui a déjà rapporté 16 millions de dollars (12,6 millions d’euros) la première année.
Anciennement appelée Bolt, Beranek and Newman, du nom de ses fondateurs, la firme est connue pour ses travaux sur les réseaux informatiques dans les années 60, qui débouchèrent plus tard sur Internet. A la fin de cette décennie, la DARPA a mis au point le réseau Arpanet, ancêtre du Web.
BBN est également spécialisée dans les technologies de reconnaissance vocale et de traduction, mais a dû recruter des chercheurs extérieurs pour la mission Gale. "Nous n’avons jamais eu un projet de cette complexité", soulignait le chercheur de BBN Owen Kimball en avril. "Il y en a qui vont s’arracher les cheveux."
Avant le lancement du projet, BBN affirmait pouvoir traduire automatiquement les journaux télévisés étrangers avec une précision supérieure à 80%. Mais la DARPA s’intéresse non seulement à ces programmes au langage policé et de bonne tenue, mais aussi aux interviews du citoyen lambda dans la rue et aux "chats" (forums) utilisant un ton familier sur Internet.
C’est là où les choses se gâtent : bruits de fond, dialectes, accents, argot, mots escamotés... un véritable cauchemar pour les ingénieurs. Sans parler du fait que l’arabe et le mandarin ont une structure très différente de l’anglais, ce qui rend la tâche encore plus ardue.
Les trois équipes de chercheur en concurrence ont stocké une pléthore d’enregistrements et de textes en arabe et chinois dans leurs ordinateurs. Le but est de régler avec précision le processus informatique, baptisé algorithme, qui réalise l’analyse du langage.
La DARPA a réalisé le premier test d’évaluation en juin : des milliers d’heures d’enregistrements audio et des millions de pages à traduire. Elle a jugé les traductions au nombre de corrections humaines nécessaires pour donner aux phrases leur sens réel.
Résultat : BBN a obtenu à l’écrit une précision de 75% en arabe et mandarin, et à l’oral 69% pour l’arabe et 67% pour le mandarin. IBM a obtenu un meilleur score à l’écrit pour arabe et le SRI a fait mieux pour le mandarin.
Les objectifs de première année fixés par la DARPA ont été largement remplis. Aucune équipe n’a été éliminée, au moins pour le moment. Mais elles vont continuer à être testées et à devoir faire leurs preuves pendant encore quatre ans maximum.
Source : + http://www.spyworld-actu.com/spip.php?article2948
dimanche, novembre 12, 2006
Liban : l'autodéfense du bataillon français
Cette vidéo officielle permet de constater que le NC1 est bien sur place:
NC1:
NC1 "Mistral"Assurant l'interface entre la section de tir Mistral (6 postes de tir) et le réseau de coordination MARTHA (MAillage Radar Tactique contre Hélicoptères et Avions) le centre NC1"Mistral" assure l’exécution de la mission en terme de :
> Veille,
> Alerte,
> Acquisition,
> Coordination des feux des 6 pièces (en liaison avec le niveau supérieur)
> Commandement de la section (PCS)
Les NC1 Mistral comportent un véhicule unique (TRM 200-13 ou TPK 6.50.SH) transportant un shelter ATM15, issu de la modernisation des ATM15 SAMANTHA, équipé :
> D'un radar 2630,
> De trois postes PR4G employés en transmission de données ou en phonie vers les pièces subordonnées
NC1:
NC1 "Mistral"Assurant l'interface entre la section de tir Mistral (6 postes de tir) et le réseau de coordination MARTHA (MAillage Radar Tactique contre Hélicoptères et Avions) le centre NC1"Mistral" assure l’exécution de la mission en terme de :
> Veille,
> Alerte,
> Acquisition,
> Coordination des feux des 6 pièces (en liaison avec le niveau supérieur)
> Commandement de la section (PCS)
Les NC1 Mistral comportent un véhicule unique (TRM 200-13 ou TPK 6.50.SH) transportant un shelter ATM15, issu de la modernisation des ATM15 SAMANTHA, équipé :
> D'un radar 2630,
> De trois postes PR4G employés en transmission de données ou en phonie vers les pièces subordonnées
vendredi, novembre 10, 2006
Un navire espion allemand surveille le Hezbollah...et Tsahal
Les incidents entre l'aviation israélienne et la marine allemande au large du Liban viennent de trouver un début d'explication, à la suite de la divulgation du nom du bâtiment allemand impliqué. Il s'agit de l' Alster, présenté comme un innocent «bâtiment de soutien de la flotte», mais qui est en réalité un navire espion.
Mardi 24 octobre, six chasseurs israéliens l'ont survolé et deux d'entre eux ont effectué un tir de semonce. L 'Alster se trouvait alors dans les eaux internationales, au large du Sud-Liban, non loin de la frontière nord d'Israël. Un autre incident a eu lieu après qu'un hélicoptère a décollé d'un bateau allemand. Bourré de système d'écoutes, l' Alster participe au recueil de renseignements sur les activités du Hezbollah au Liban et, selon toute vraisemblance, sur celles de l'armée israélienne. Autant dire qu'aux yeux de Tsahal, ce bateau est indésirable. Berlin fait profil bas sur cette affaire, «oubliant» d'avertir les Nations unies. L'Allemagne dirige la partie navale de la Finul, mais l' Alster n'est pas intégré dans ce dispositif international, contrairement aux six autres bateaux allemands.
http://www.liberation.fr/actualite/monde/214055.FR.php
Par Jean-Dominique MERCHET QUOTIDIEN : mardi 31 octobre 2006
Mardi 24 octobre, six chasseurs israéliens l'ont survolé et deux d'entre eux ont effectué un tir de semonce. L 'Alster se trouvait alors dans les eaux internationales, au large du Sud-Liban, non loin de la frontière nord d'Israël. Un autre incident a eu lieu après qu'un hélicoptère a décollé d'un bateau allemand. Bourré de système d'écoutes, l' Alster participe au recueil de renseignements sur les activités du Hezbollah au Liban et, selon toute vraisemblance, sur celles de l'armée israélienne. Autant dire qu'aux yeux de Tsahal, ce bateau est indésirable. Berlin fait profil bas sur cette affaire, «oubliant» d'avertir les Nations unies. L'Allemagne dirige la partie navale de la Finul, mais l' Alster n'est pas intégré dans ce dispositif international, contrairement aux six autres bateaux allemands.
http://www.liberation.fr/actualite/monde/214055.FR.php
Par Jean-Dominique MERCHET QUOTIDIEN : mardi 31 octobre 2006
dimanche, novembre 05, 2006
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